Le Territoire de sécurité urbain et rural, initié en juillet 2021 par l'ancien Premier ministre Jean Castex à Saint-Dizier, rencontre des turbulences.

Destiné à lutter contre la délinquance grâce à une approche globale et partenariale sur une secteur à cheval entre les 3 départements de Meuse, Marne et Haute Marne. 42 communes ont manifesté le souhait de quitter le TSUR réduisant le nombre à 277 le nombre de communes membres du dispositif. 

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Des sorties qui font suite à des désaccords sur les coûts et la répartition des moyens.

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Joinville est la plus grosse commune marquant son retrait du TSUR, suivie par d'autres communes du même bassin comme Nully et Vecqueville. 

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Quentin Brière, président de l'agglomération, souligne l'importance de la collaboration étendue pour combattre efficacement la délinquance, comparant celle-ci à l'eau qui "arrive avant toi et part après toi".

Le maire de Joinville, Bertrand Ollivier exprime des réserves vis à vis du TSUR, arguant des coûts importants supportés par les contribuables et une mise en œuvre du dispositif jugée éloignée de leurs préoccupations immédiates.

Le TSUR, qui vise notamment à cartographier la délinquance et à mutualiser les moyens de surveillance, doit maintenant faire face à une réorganisation significative et à la méfiance de certaines communes quant à son efficacité et son impact financier.