Dossier
Ce mercredi 10 décembre, la Confédération paysanne et la Coordination rurale 52 ont manifesté devant la préfecture de Chaumont. Dans la ligne de mire des agriculteurs, la dermatose nodulaire contagieuse et l’abattage total des cheptels touchés par la maladie. Ils demandent également un déclassement de cette maladie.
Ils étaient une centaine ce mercredi 2 décembre dans les rues de Bar-le-Duc. Les agriculteurs sont sortis pour manifester contre les différents accords commerciaux comme le Mercosur, la politique agricole commune, ou encore le loup ou le gibier.

Les forêts meusiennes subissent depuis plusieurs années les conséquences d’une surpopulation de cervidés, menaçant la régénération des bois et créant des tensions entre sylviculteurs, agriculteurs et chasseurs. Pour y remédier, le préfet Xavier Delarue annonce une série d’arrêtés et de mesures concrètes visant à mieux encadrer la chasse et protéger les forêts.
Il frappe gravement en Haute-Marne, mais n’épargne pas le département de la Meuse. En 2025, plus d’une centaine d’attaques de loups ont été répertoriées, provoquant la mort de brebis. Les éleveurs se sentent dépassés par les événements et craignent chaque jour de retrouver leur troupeau sans vie. Ce lundi 17 novembre, certains d’entre eux se sont réunis pour parler de la problématique et ont témoigné. Certaines images peuvent choquer.
Ce lundi 4 novembre, la colère agricole s’est invitée devant le Leclerc de Bar-le-Duc. Une trentaine d’exploitants se sont rassemblés à l’appel de la FDSEA et des Jeunes Agriculteurs pour dénoncer ce qu’ils estiment être une concurrence déloyale. Selon eux, trop de produits importés ne respectent pas les mêmes normes que celles imposées aux producteurs français. Une action symbolique, mais déterminée, pour alerter la grande distribution et les consommateurs.
Ce vendredi, un appel national à la grève avait été lancé par la FNSEA et les Jeunes agriculteurs. En Meuse, une réunion s’est tenue au sein de la chambre d’agriculture. En tout, plus d’une vingtaine de personnes étaient présentes. Le but est de dénoncer les accords du Mercosur et les taxes de Donald Trump.
Excédés par la multiplication des attaques de loups, les agriculteurs haut-marnais ont manifesté ce jeudi 25 septembre à l’appel de la FDSEA 52. Plus de 300 participants se sont rassemblés pour dénoncer un prédateur qu’ils jugent incontrôlable et demander des mesures concrètes. Entre colère, symboles forts et battue collective, ils veulent alerter sur l’avenir de leurs élevages.

Ce jeudi 25 septembre, les éleveurs se sont rassemblés à Millières en Haute-Marne pour partager leurs inquiétudes et s’exprimer sur la présence des loups sur le territoire. Depuis le mois de janvier, près de 600 bêtes ont été tuées lors d’attaques de loups.

Le 12 septembre, le préfet de la Meuse a signé un arrêté qui autorise un éleveur à effectuer des tirs de défense dans le but de protéger son troupeau. Depuis le début de l’année, l’homme a été victime de huit attaques de loups.
Ce mardi 12 août 2025, la préfète de la Haute-Marne ainsi que le préfet délégué au plan loup pour la région Rhône-Alpes Auvergne se sont rendu dans une exploitation agricole à Lénizeul afin de discuter avec les éleveurs et acteurs du monde agricole sur la situation de crise concernant le loup, mais également pour assister à la présentation d’une nouvelle clôture de protection contre les attaques.
En Haute-Marne, la présence du loup bouleverse l’équilibre fragile entre faune sauvage et activité agricole. Attaques répétées, élevages menacés, découragement des éleveurs… Depuis plusieurs années, la tension monte. Derrière chaque attaque, des vies bouleversées et un débat toujours plus vif autour de la protection de l’espèce.

Ce mercredi 15 janvier, une centaine d’agriculteurs, représentants de tous les syndicats agricoles, se sont rassemblés afin d’apporter leur soutien à Louis-Baptiste Brutel et de demander du changement. L’agriculteur a lancé un appel à la mobilisation après avoir subi une attaque de loup le 8 janvier dernier.
En Haute-Marne, la menace du loup se fait de plus en plus pesante. Selon les chiffres avancés par les Jeunes Agriculteurs 52, 17 attaques de grands prédateurs ont été recensées en 2024 en Haute-Marne. Au total, 39 animaux ont déjà été tués. Dans le petit village de Saint-Blin, Vincent est à bout. L’éleveur a décidé de vendre le troupeaux familial.

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