Puissance Télévision vous propose de (re)voir en images les actualités marquantes de la semaine. Des classes de mathématiques et sciences à horaires aménagés en passant par la baisse des fréquentations des salles de cinémas à la colère des vitryats et une ligne de train réhabilitée pour les déchets nucléaires, découvrez nos photos de la semaine.
L’éducation nationale ouvre les sciences à tous avec les classes CHAMS
Depuis la rentrée 2025, le collège La Rochotte de Chaumont expérimente une nouvelle formule : les classes CHAMS, à horaires aménagés en mathématiques et sciences. Chaque semaine, une trentaine d’élèves volontaires bénéficient de deux heures supplémentaires pour renforcer leurs connaissances. Un dispositif déployé dans plusieurs académies et soutenu par le rectorat, qui mise notamment sur une meilleure parité filles-garçons dans les filières scientifiques.
Les salles de cinéma n’attirent plus autant de monde qu’avant
Les fauteuils rouges n’attirent plus autant. Après une année 2024 marquée par un record de fréquentation en décembre, les salles traversent une crise inédite : depuis avril 2025, le nombre d’entrées chute fortement, avec une baisse de 13% en un an. Entre météo, tarifs et surtout manque de films porteurs, les professionnels du secteur tentent de trouver des solutions pour ramener le public au cinéma.
Une centaine de personnes réunies pour dénoncer la réforme des retraites
Nouvelle journée de mobilisation sociale ce 2 octobre. Après le rassemblement du 18 septembre qui avait réuni près de 200 personnes, les syndicats de Vitry-le-François ont de nouveau appelé à descendre dans la rue. Objectif : dénoncer une réforme des retraites qu’ils jugent injuste, puisqu’elle porte l’âge légal de départ à 64 ans, mais aussi réclamer un budget 2026 davantage tourné vers le social.
Une ligne de train réhabilitée pour les déchets nucléaires qui divise les avis
Depuis quelques années, l’Andra et son projet à Bure sondent les anciennes voies de chemins de fer de la vallée de l’Ornain. L’objectif futur sera d’acheminer les déchets nucléaires à travers la Meuse jusqu’au site de stockage. Mais cette voie ferrée passe par des villages et parfois même des jardins. Le projet est contesté.
