Chaumont inaugure son premier parkour park, un projet du budget participatif 2024

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Une nouvelle aire dédiée au parkour a été inaugurée ce vendredi 21 novembre boulevard Voltaire, à deux pas du skatepark. Pensé avec l’association La Ligue des Ombres et financé par le budget participatif 2024, cet espace de 200 m² équipé de modules variés offre désormais aux traceurs un terrain d’entraînement en accès libre.
Une nouvelle aire dédiée au parkour a été inaugurée ce vendredi 21 novembre boulevard Voltaire, à deux pas du skatepark. Pensé avec l’association La Ligue des Ombres et financé par le budget participatif 2024, cet espace de 200 m² équipé de modules variés offre désormais aux traceurs un terrain d’entraînement en accès libre.

Une aubaine pour les pratiquants de parkour. Ce vendredi 21 novembre, le nouvel espace de parkour a été inauguré boulevard Voltaire, juste à côté du skatepark.

Ce nouveau parkour park se compose de plusieurs modules avec une quinzaine de points d’accroche, des caisses à formes géométriques variables anti-dérapantes, de bars et de pieds. Une zone de près de 200 m² afin de laisser en accès libre l’équipement aux pratiquants du parkour, appelés les traceurs.

Un projet issu du budget participatif 2024

Ce projet de parkour park a été mené par Justine Febvre, secrétaire de l’association « La ligue des ombres » dans le cadre du budget participatif 2024. Les modules ont été travaillés avec l’association « Polygon ». Un montant de 30 000 euros leur a été alloué afin de réaliser le parkour park.

Avec ce nouveau matériel, la ville de Chaumont espère donner l’envie aux chaumontais de pratiquer cette discipline. « Le but est d’initier les gens au parkour. On voit déjà pas mal de collégiens qui viennent l’utiliser », explique Arnaud Cousin, en charge du budget participatif. « Mais aussi aux pratiquants de la ligue des ombres, pour leur permettre de faire davantage de choses.»

Une discipline en plein essor

Sur le territoire national, une trentaine d’associations de parkour sont recensées. Une discipline émergente qui donne de l’espoir à la ville et à l’association quant à ces nouveaux modules. « C’est une pratique intéressante, car il y a une philosophie de travailler avec le mobilier urbain », explique Arnaud Cousin.

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