Préserver la mémoire pour éclairer l’avenir : quand le devoir de transmission devient une nécessité

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Emmanuel Decaux, professeur de droit international, et Hubert Strouk, du Mémorial de la Shoah, ont rappelé combien la parole des survivants demeure un phare fragile.
Emmanuel Decaux, professeur de droit international, et Hubert Strouk, du Mémorial de la Shoah, ont rappelé combien la parole des survivants demeure un phare fragile.

Il y a des voix qu’il faut entendre pour ne jamais oublier : celles de ceux qui ont dû témoigner pour survivre… et survivre pour témoigner. Cette année, le Concours National de la Résistance et de la Déportation invite à explorer La fin de la Shoah et de l’univers concentrationnaire nazi. 

Pour éclairer cette histoire, Emmanuel Decaux, professeur de droit international, et Hubert Strouk, du Mémorial de la Shoah, sont venus rappeler combien la mémoire est un fil fragile et précieux. Et que chaque génération doit tenir pour que jamais ne s’éteigne la lumière de celles et ceux qui ont traversé la nuit.

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