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95 000 euros de stupéfiants retrouvés chez eux, un dealer vitryat et sa femme condamnés pour trafic

Durée de lecture : 2 min.
En février 2025, un trentenaire de Vitry-le-François, père de famille de cinq enfants, a été condamné à deux ans de prison ferme pour trafic de stupéfiant. Le 17 septembre, c’était au tour de sa femme de comparaitre devant le tribunal de Châlons-en-Champagne. Plus de 11 kilos de cannabis avaient été retrouvés au domicile du couple.
En février 2025, un trentenaire de Vitry-le-François, père de famille de cinq enfants, a été condamné à deux ans de prison ferme pour trafic de stupéfiant. Le 17 septembre, c’était au tour de sa femme de comparaitre devant le tribunal de Châlons-en-Champagne. Plus de 11 kilos de cannabis avaient été retrouvés au domicile du couple.

11,3 kilos de produits stupéfiants, soit une valeur de 95 000 euros. C’est ce qui a été retrouvé, par les gendarmes, entre les murs du domicile d’une famille vitryat, le 24 février 2025. Le dealer, un père âgé de 30 ans, a été condamné au palais de justice de Châlons-en-Champagne par rapport à ces faits. La semaine dernière, c’était au tour de sa femme d’être jugée devant le tribunal

Un trafic de stupéfiant important chez ces vitryats

En septembre 2024, le trentenaire vitryat, père de quatre enfants, se lance dans la vente de cannabis, herbe et résine. Au prix de 20 euros le gramme, le coût de son cannabis dépasse le niveau national, qui s’établit, selon l’Office anti-stupéfiants du ministère de l’Intérieur, à environ 10 euros. 

Selon les informations de L’Union, c’est à la suite d’une dénonciation de son cousin, qu’une perquisition est effectuée chez lui par les gendarmes, dans laquelle plusieurs kilos de stupéfiants ont été retrouvés. Un trafic important qui lui a valu d’être condamné trois jours plus tard, au palais de justice de Châlons-en-Champagne, d’une peine de deux ans de prison ferme, ainsi qu’une amende de 5 000 euros. 

Mercredi 17 septembre, la conjointe du trentenaire a été jugée devant le tribunal pour son implication dans le trafic de son mari. Elle a été poursuivie pour complicité de détention de stupéfiants et complicité d’emploi non autorisé de stupéfiants, fait pour lequel elle a été relaxée. 

Le parquet a également requis trois mois de sursis simple, qui a été doublé par le tribunal dans son délibéré.

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