Santé : 40 agents médico-sociaux de la Meuse en manifestation à Bar-le-Duc

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C’était une des mesures fortes prises pendant le COVID pour revaloriser les métiers de la santé : l’accord du Ségur. En bref, une prime salariale pour certains professionnels de la santé et du social. Aujourd’hui, les métiers associés au sein des établissements de santé demandent à être inclus dans la mesure. C’est le cas du SEISAAM de la Meuse.
C’était une des mesures fortes prises pendant le COVID pour revaloriser les métiers de la santé : l’accord du Ségur. En bref, une prime salariale pour certains professionnels de la santé et du social. Aujourd’hui, les métiers associés au sein des établissements de santé demandent à être inclus dans la mesure. C’est le cas du SEISAAM de la Meuse.

Pour la quatrième fois en 4 ans, c’est devant l’hôtel du département qu’ils manifestent. Une quarantaine d’agents des Services et Etablissements publics d’Inclusion et d’Accompagnement Argonne Meuse, abrégé en SEISAAM, se sont mobilisés ce vendredi à Bar-le-Duc. 

Leur revendication principale : que tout le personnel de l’établissement touche le Ségur, une revalorisation salariale accordée aux métiers de la santé après le Covid. Jusqu’à aujourd’hui, 160 des 700 salariés du SEISAAM n’y avaient pas le droit.

Une petite avancée

Ce matin, le département de la Meuse s’est engagé à faire avancer l’affaire. Résultat, 90 agents, dont les maîtresses de maison et les veilleurs de nuit, devraient toucher le Ségur, équivalent à environ 180 euros par mois, dès le mois de juillet. 

Prochaine étape pour la CFDT Santé au niveau national : tenter de faire évoluer le décret du Ségur pour qu’il concerne plus de personnel

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