180 kilomètres, 2000m de dénivelé positif au départ de Colombey-les-Deux-Églises : c’est ce qui attend les coureurs du Paris-Troyes cette année. Un parcours vallonné par excellence, fait de montées et descentes successives, entrecoupées de côtes plus importantes.
La première ascension significative arrive au 20e kilomètre entre Meures et Sexfontaines. 1400m à 6% de moyenne avec des portions à 10%. Rien d’insurmontable pour les coureurs mais elle peut être un moment clé dans le scénario de course, comme l’analyse Aurélien Philibert.
Une course tactique et physique
Dans le peloton, il faudra être vigilant toute la journée car il y a très peu de portions plates. Un enchaînement d’ascensions courtes mais intenses qui rendent l’effort particulier, comme l’explique David Messant, l’organisateur du Paris-Troyes
La deuxième côte, celle de Saint-Martin sur la Renne, arrive 10km après la première. Dans un peloton qui sera composé en grande partie de coureurs professionnels, cet enchaînement continu de descentes et montées fera de ce Paris-Troyes une course loin d’être facile
Arrivée en groupe ou en solitaire ?
Au total, 5 ascensions notables sont au programme. En 2024, c’est au sprint que s’est jouée l’arrivée de la course à Troyes. 2025 est peut-être l’année de la bonne échappée.