Paris-Troyes : quand le vélo devient un moteur pour la Haute-Marne

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À Colombey-les-Deux-Églises, le cyclisme prend une dimension bien plus large que le simple sport. À travers la course Paris-Troyes, c’est tout un territoire qui se mobilise pour se rendre visible, attirer et dynamiser. Un engagement clair, porté par le président du département.

Paris-Troyes 2025

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À Colombey-les-Deux-Églises, le cyclisme prend une dimension bien plus large que le simple sport. À travers la course Paris-Troyes, c’est tout un territoire qui se mobilise pour se rendre visible, attirer et dynamiser. Un engagement clair, porté par le président du département.

« Le sport, c’est de l’engagement, et nous, au Conseil départemental, nous soutenons ceux qui s’engagent », affirme le président du Département de la Haute-Marne. Pour lui, accueillir des événements comme le Paris-Troyes est un choix stratégique.

Ce soutien s’inscrit dans une dynamique déjà forte : le marathon du Lac du Der, le Tour de France en 2023, et aujourd’hui encore, Paris-Troyes. « Colombey devient un point de repère régulier, ce n’est pas anodin », insiste-t-il.

Une Haute-Marne qui s’affirme comme terre de vélo

Le président est clair : « On a les côtes, les paysages, les infrastructures. On est une terre de vélo. » Il ambitionne même de faire revenir le Tour de France dans les prochaines années.

Les pistes cyclables, les chemins de halage, les projets des collectivités locales… tout cela converge vers une vision de long terme : faire de la Haute-Marne une destination sportive reconnue.

Des retombées concrètes et immédiate

Au-delà de l’image, ces événements ont un impact économique immédiat : visiteurs, nuitées, restauration, tourisme. Mais ils offrent aussi une opportunité de rayonnement durable. « Chaque coureur qui part de Colombey emporte un morceau de notre territoire avec lui », souligne-t-il avec fierté.

Conscient des défis d’attractivité, le département mise sur le sport comme vecteur de redynamisation. « Il faut parler de nous autrement. Le vélo, le sport en général, c’est une porte d’entrée vers notre patrimoine, nos villages, notre vitalité. »

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Antoine Regnault

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