C’est un service qui accueille chaque année environ 1500 patients. Et pourtant, d’ici la fin du mois de novembre, la clinique François 1er de Saint-Dizier va devoir fermer son unité de chimiothérapie. Une fermeture principalement liée à des raisons économiques comme l’augmentation du prix des « poches médicamenteuses » nécessaires aux traitements.